Coaching individuel et intelligence émotionnelle : l’art d’écouter ses émotions pour mieux piloter sa carrière

Coaching individuel et intelligence émotionnelle : l’art d’écouter ses émotions pour mieux piloter sa carrière

Coaching individuel et intelligence émotionnelle : l’art d’écouter ses émotions pour mieux piloter sa carrière

Dans un contexte professionnel en constante évolution, la capacité à gérer ses émotions est devenue un atout majeur. L’intelligence émotionnelle – la faculté de percevoir, comprendre et réguler ses émotions – permet de prendre de meilleures décisions, d’entretenir des relations de qualité et d’accroître sa performance. Pourtant, beaucoup de personnes négligent l’impact profond de leurs ressentis dans leur parcours professionnel. C’est ici qu’intervient le coaching individuel : en associant l’approche P@CTE (Percevoir, Accepter, Communiquer, Transformer, Engager) à une exploration fine de l’intelligence émotionnelle, le coach aide le professionnel à identifier ses émotions, à les accueillir, à les exprimer et à les transformer en leviers d’action concrets pour piloter sa carrière en toute sérénité.

Qu’est-ce que l’intelligence émotionnelle ?

L’intelligence émotionnelle, popularisée par Daniel Goleman dans les années 1990, regroupe plusieurs compétences :

  • Percevoir ses propres émotions et celles des autres (empathie) ;
  • Comprendre le lien entre les émotions et les pensées, ainsi que l’impact sur le comportement ;
  • Réguler ses émotions pour mieux réagir face aux défis ;
  • Utiliser ses émotions pour guider ses décisions et stimuler sa motivation.

Contrairement à l’intelligence cognitive, mesurée par le QI, l’intelligence émotionnelle se travaille et se développe tout au long de la vie. Elle se manifeste à travers la conscience de soi (capacité à identifier ses émotions), la gestion de soi (capacité à réguler ses réactions émotionnelles), la conscience sociale (empathie) et la gestion des relations (communication, coopération). Dans un environnement professionnel, ces compétences se traduisent par une meilleure capacité à gérer les conflits, à motiver une équipe et à prendre des décisions éclairées, même en situation de stress.

Pourquoi l’intelligence émotionnelle est-elle cruciale pour piloter sa carrière ?

Les recruteurs et les managers ne recherchent plus uniquement des compétences techniques ou académiques. Face à la complexité croissante des organisations, la capacité à gérer les émotions – tant les siennes que celles des autres – est devenue un différenciateur essentiel :

  • Décisions éclairées : Les émotions peuvent influencer nos jugements. Un professionnel doté d’une forte intelligence émotionnelle sait prendre du recul, analyser son état intérieur et éviter les réactions impulsives qui nuisent à la performance.
  • Leadership inspirant : Un manager émotionnellement intelligent sait écouter son équipe, comprendre ses besoins et adapter son style de management. Il crée un environnement où chacun se sent reconnu et motivé.
  • Résilience et adaptation : Dans un contexte de changement permanent (restructuration, fusion, évolution technologique), la capacité à gérer le stress et à rebondir après un échec devient indispensable. L’intelligence émotionnelle renforce la résilience et facilite la transition vers de nouveaux défis.
  • Communication efficace : Exprimer clairement ses émotions et être attentif à celles des autres évite les malentendus, renforce la cohésion et permet de résoudre plus rapidement les conflits.

En somme, l’intelligence émotionnelle n’est pas un luxe, mais une compétence stratégique pour toute personne souhaitant donner un nouvel élan à sa carrière. Le coaching individuel, orienté sur le développement émotionnel, offre un cadre structuré pour progresser efficacement.

Présentation de l’approche P@CTE

L’approche P@CTE, acronyme de Percevoir, Accepter, Communiquer, Transformer et Engager, constitue un fil rouge pour accompagner le développement personnel et professionnel. Elle se décline en cinq étapes complémentaires, chacune ciblant un aspect spécifique de la transformation intérieure et extérieure :

  1. Percevoir : devenir conscient de ses émotions, de ses pensées, de ses besoins et des réactions de son environnement.
  2. Accepter : accueillir sans jugement ses ressentis et reconnaître les mécanismes qui entravent sa progression.
  3. Communiquer : exprimer clairement ses émotions, ses attentes et ses limites, tout en restant à l’écoute des autres.
  4. Transformer : utiliser ses émotions comme des leviers pour évoluer, changer de perspective et adopter des comportements plus adaptés.
  5. Engager : mettre en place des actions concrètes pour pérenniser les acquis, maintenir sa motivation et poursuivre un cap aligné avec ses valeurs.

Lorsque l’on associe cette méthodologie au développement de l’intelligence émotionnelle, on obtient un processus profond, visant autant l’éveil de la conscience que la mise en œuvre d’actions concrètes dans la sphère professionnelle. Chaque étape du P@CTE se nourrit des compétences émotionnelles : identifier une émotion (Percevoir), en accepter la source (Accepter), la partager de façon assertive (Communiquer), la rediriger vers une action constructive (Transformer) et s’engager dans un plan d’évolution durable (Engager).

1. Percevoir : devenir conscient de ses émotions

La première étape cruciale consiste à développer sa capacité à percevoir ce qui se passe intérieurement. Trop souvent, nous réagissons de façon automatique sans avoir identifié la nature exacte de l’émotion qui nous traverse. Pour piloter sa carrière avec intelligence émotionnelle, il est impératif de pratiquer l’auto-observation :

  • Tenir un journal émotionnel : Chaque jour, notez les situations marquantes et décrivez les émotions ressenties (colère, anxiété, joie, frustration, etc.). Soyez précis : décrivez le stimulus, l’intensité de l’émotion (sur une échelle de 1 à 10) et le contexte. Cette simple routine prend 5 à 10 minutes par jour, mais elle augmente considérablement la conscience de soi.
  • Scanner corporel : Les émotions se manifestent souvent physiquement (tension musculaire, bouffées de chaleur, maux de tête…). Prenez quelques instants, plusieurs fois par jour, pour fermer les yeux et faire le point sur les sensations corporelles. Cette technique de pleine conscience (mindfulness) aide à déceler des émotions naissantes avant qu’elles ne deviennent envahissantes.
  • Identifier les déclencheurs : Repérez les situations professionnelles qui génèrent une forte réaction émotionnelle : une réunion imprévue, un feedback négatif, un conflit d’équipe, une échéance serrée. Notez précisément ces déclencheurs. Plus vous affinez cette phase de perception, plus vous serez en mesure d’anticiper et de gérer vos réactions.

Exemple : Lors d’une présentation importante, vous pouvez ressentir un pic d’anxiété juste avant de prendre la parole. En identifiant que votre cœur s’emballe et que votre respiration se bloque, vous pouvez conscientiser cette montée de stress, nommer « anxiété » et distinguer ce ressenti d’une simple « excitation ». Cette prise de conscience est le premier pas vers la maîtrise émotionnelle.

2. Accepter : accueillir sans jugement ses ressentis

Une fois l’émotion perçue, vient naturellement la tentation de la juger (« Je ne devrais pas être en colère », « C’est mal d’être anxieux »). L’étape Accepter consiste à suspendre toute évaluation et à reconnaître la légitimité de votre état interne :

  • Déculpabiliser : Considérez chaque émotion comme un message. La colère peut signaler une injustice perçue, l’anxiété un besoin de préparation, la tristesse un besoin de soutien. En acceptant pleinement ce message, vous évitez de nourrir des émotions secondaires (culpabilité, honte) qui aggravent le mal-être.
  • Pratiquer l’auto-compassion : Parlez-vous comme à un ami : « Il est normal que je me sente stressé avant cette échéance. » Cette attitude bienveillante réduit l’énergie négative et crée un espace psychologique pour travailler sur la source du malaise.
  • Utiliser la métaphore de l’observateur : Imaginez-vous assis(e) à côté de vous-même, en spectateur bienveillant. Observez vos pensées et émotions défiler comme des nuages sans tenter de les repousser. Cet exercice de distanciation favorise l’acceptation et diminue la charge émotionnelle.

Exemple : À la suite d’un entretien décevant, au lieu de ruminer « Je suis trop nul », accueillez la tristesse et la déception comme une réaction cohérente face à un résultat non satisfaisant. Reconnaissez que « j’ai le droit d’être triste » puis questionnez-vous : « Qu’est-ce que cette tristesse m’apprend sur mes attentes et mes axes d’amélioration ? »

3. Communiquer : exprimer ses émotions de façon adaptée

Une fois les émotions perçues et acceptées, il est important de communiquer pour éviter qu’elles ne s’enkystent ou ne provoquent des conflits non résolus. La communication émotionnelle repose sur deux axes :

  • L’assertivité : Exprimer ses émotions et ses besoins sans agresser l’interlocuteur. Utiliser des phrases commençant par « Je » (« Je ressens… », « J’ai besoin de… ») plutôt que « Tu » (« Tu me stresses… », « Tu es toujours… ») qui suscitent la défensive.
  • L’empathie active : Lorsqu’un collègue ou un manager exprime ses émotions, soyez à l’écoute, validez ce qu’il ressent et reformulez. Par exemple : « Je comprends que tu te sentes frustré par ce projet. » Ce type de reformulation anticipe les tensions et crée une alliance constructive.

Exemple : Vous avez travaillé tard pour finaliser une présentation et votre manager vous fait remarquer un point que vous jugez mineur. Vous pouvez ressentir de l’agacement et l’exprimer ainsi : « Je me sens déçu quand je vois ce point mis en avant. J’ai investi beaucoup de temps pour que le contenu soit cohérent. Pourriez-vous m’expliquer ce qui vous semble prioritaire ? » Cette formulation permet de faire passer votre émotion sans agresser, tout en sollicitant un échange constructif.

4. Transformer : utiliser ses émotions comme leviers

L’étape Transformer correspond à la capacité à rediriger l’énergie émotionnelle vers des actions positives. Plutôt que de subir colère, anxiété ou frustration, apprenez à les convertir en moteurs d’initiative :

  • Canaliser la colère : Si vous vous sentez en colère face à une situation injuste (non reconnaissance, surcharge de travail), transformez cette colère en projet d’amélioration : proposez un processus de feedback régulier ou rédigez une note de synthèse pour montrer l’impact des dysfonctionnements.
  • Transformer l’anxiété : L’anxiété peut être mise au service d’une meilleure préparation. Si vous êtes angoissé(e) avant une présentation, utilisez cette énergie pour anticiper les questions, répéter votre discours et soigner vos supports visuels.
  • Convertir la tristesse : Un échec ou une déception peut générer de la tristesse. Prenez le temps d’identifier les apprentissages possibles (compétences à renforcer, aspects relationnels à améliorer) puis élaborez un plan d’action concret pour rebondir.

Exemple : Vous apprenez que votre candidature interne à une promotion n’a pas été retenue. Plutôt que de laisser la frustration miner votre motivation, prenez quelques heures pour analyser les critères sur lesquels vous avez été jugé(e). Identifiez les compétences à développer, proposez un plan de formation ou un mentorat, et présentez-le à votre manager. Vous transformez ainsi une émotion négative en opportunité de progression.

5. Engager : pérenniser le changement

La dernière étape du P@CTE, Engager, vise à inscrire dans la durée les changements initiés. Sans engagement concret, même les meilleures prises de conscience risquent de retomber dans l’oubli :

  • Concevoir un plan d’action SMART : Définissez des objectifs Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Réalistes et Temporellement définis. Par exemple : « Réduire mon niveau d’anxiété avant les réunions de 8/10 à 4/10 d’ici trois mois, en pratiquant 5 minutes de respiration consciente avant chaque réunion. »
  • Mettre en place un suivi régulier : Travaillez avec votre coach pour fixer des points d’étape hebdomadaires ou mensuels. Ces sessions permettent de mesurer votre progression, d’ajuster le plan d’action et de célébrer les victoires, même minimes.
  • Créer des rituels de reconnexion à vos émotions : Prenez deux à trois fois par jour un moment de pause pour vérifier votre état émotionnel : une respiration profonde, un autodiagnostic rapide (« Comment je me sens maintenant ? »). Ces micro-rituels entretiennent votre vigilance émotionnelle.
  • Capitaliser sur les réussites : Tenez un tableau de bord émotionnel où vous consignez vos progrès (« Réussite », « Progrès », « Difficulté surmontée »). Cette visualisation renforce votre motivation et montre l’impact concret du travail émotionnel sur votre carrière.

Exemple : Après avoir travaillé trois mois sur votre gestion du stress, vous constatez que votre niveau d’anxiété lors des réunions est passé de 8/10 à 3/10. Notez-le dans votre journal, célébrez cette victoire interne et ajustez votre plan pour cibler la prochaine étape (par exemple, améliorer votre assertivité lors de négociations).

Le rôle du coach professionnel dans l’accompagnement émotionnel

Bien que vous puissiez initier seul(e) ce travail d’intelligence émotionnelle, l’accompagnement par un coach clermont ferrand apporte plusieurs bénéfices :

  • Regard extérieur et bienveillance : Un coach professionnel ne juge pas, mais questionne pour vous aider à identifier vos zones d’ombre émotionnelles. Il crée un espace sécurisant pour explorer vos ressentis sans crainte.
  • Méthodologie structurée : Grâce à sa formation et à son expérience, le coach vous guide pas-à-pas dans l’approche P@CTE, en proposant des outils (questionnaires, grilles de lecture, exercices de pleine conscience) adaptés à votre situation.
  • Responsabilisation : Savoir que vous rendez compte régulièrement de vos progrès à quelqu’un maintient votre niveau d’engagement et diminue la tentation d’abandonner face aux difficultés.
  • Feedback et ajustement : Un coach observe vos réussites et vos points de blocage, puis adapte le plan d’action en temps réel. Cette flexibilité est difficile à obtenir dans une démarche uniquement autodidacte.

En conjuguant l’approche P@CTE et l’accompagnement d’un coach professionnel, vous bénéficiez d’un double levier : la puissance d’une méthode éprouvée et le soutien humain pour franchir chaque étape avec confiance.

Cas pratique : Marie, cadre en transition professionnelle

Contexte : Marie, 38 ans, travaille dans le secteur financier. Après douze ans de bons et loyaux services, elle ressent un malaise croissant face à la culture d’entreprise trop axée sur la performance. Elle envisage une reconversion vers un métier plus aligné avec ses valeurs (RSE – Responsabilité Sociétale des Entreprises). Son principal frein : la peur de l’inconnu et l’angoisse liée à la prise de risque.

Étape 1 – Percevoir :

Accompagnée d’un coach, Marie apprend d’abord à repérer ses émotions au quotidien. Un jour, après une réunion tendue, elle note dans son journal : « Je me sens oppressée, j’ai la boule au ventre, j’ai envie de m’évader. » Elle réalise que ce ressenti apparaît systématiquement lors de discussions sur les chiffres à atteindre.

Étape 2 – Accepter :

Grâce à des exercices de pleine conscience guidés par le coach, Marie se permet d’accueillir sa peur sans la juger. Elle comprend qu’il est légitime de ressentir de la peur lorsqu’on songe à tout quitter. En apprenant à se dire « ce que je ressens est normal », elle diminue la tension corporelle associée.

Étape 3 – Communiquer :

Le coach encourage Marie à partager son état émotionnel avec son manager. Elle prépare une phrase assertive : « Je ressens une grande anxiété lorsque nous discutons des objectifs trimestriels. J’ai besoin de comprendre comment je pourrai concilier performance et valeurs personnelles. » Cette communication ouvre un dialogue constructif avec son manager, qui lui propose un projet pilote en RSE tout en conservant ses responsabilités financières.

Étape 4 – Transformer :

Marie transforme sa peur en motivation : elle commence à se renseigner sur les formations en RSE, à contacter d’anciens camarades ayant changé de domaine et à établir un plan de transition sur 12 mois. Elle utilise son énergie anxieuse pour rédiger un dossier de reconversion solide et argumenté.

Étape 5 – Engager :

Avec le soutien régulier du coach, Marie met en place un suivi mensuel. Elle veille à travailler sa résilience (séances de sophrologie, lectures inspirantes) et à célébrer chaque petite victoire (entretien réussi pour une formation, validation de ses premiers contenus RSE). Au bout de huit mois, elle décroche un poste à mi-temps en RSE tout en maintenant une activité réduite dans son service financier, validant ainsi sa transition progressive.

Exercices pratiques pour développer votre intelligence émotionnelle

Pour vous approprier l’approche P@CTE et renforcer votre intelligence émotionnelle, voici quelques exercices concrets à intégrer dès maintenant :

1. Journal des émotions

  • Chaque matin, notez sur trois colonnes : « Événement », « Émotion ressentie » et « Intensité (1–10) ». Exemple : « Réunion équipe – frustration – 7/10 ».
  • Le soir, relisez ces notes et identifiez les tendances (situations récurrentes, émotions prédominantes).

2. Pause corps-esprit

  • Trois fois par jour, fermez les yeux pendant 2 minutes. Portez votre attention sur la respiration et sur toute tension musculaire. Respirez profondément et essayez de relâcher chaque zone du corps (épaules, mâchoire, nuque).
  • Identifier au moins une sensation physique (chaleur, lourdeur, fourmillement) puis nommer l’émotion associée (stress, fatigue, joie).

3. Dialogue intérieur bienveillant

  • Quand vous ressentez une émotion forte, formulez une phrase bienveillante à votre propre égard : « C’est compréhensible d’être stressé(e) dans cette situation. »
  • Utilisez cette phrase comme un mantra pour diminuer le jugement intérieur et limiter l’intensité émotionnelle négative.

4. Communication assertive

  • Choisissez une situation de travail où vous ressentez un inconfort émotionnel (tension avec un collègue, surcharge de travail). Préparez un message en « Je » : « Je ressens X quand… J’ai besoin de Y. »
  • Entraînez-vous à dire cette phrase face au miroir ou devant un ami bienveillant avant de l’aborder en contexte réel.

5. Plan d’action SMART

  • Identifiez une émotion que vous souhaitez transformer (ex. : anxiété avant les présentations). Formulez un objectif SMART : « Réduire mon anxiété de 8/10 à 4/10 d’ici 3 mois, en pratiquant 5 minutes de respiration diaphragmatique avant chaque prise de parole. »
  • Suivez votre progression chaque semaine : notez l’intensité émotionnelle et ajustez la pratique si nécessaire.

Les bénéfices concrets sur votre carrière

Développer votre intelligence émotionnelle, en particulier grâce à l’approche P@CTE et à un accompagnement de coaching individuel, produit des résultats tangibles :

  • Meilleure prise de décision : Vous évaluez les situations avec plus de recul, évitez les réactions impulsives et prenez en compte les dimensions humaines dans vos choix.
  • Relations professionnelles apaisées : Par une communication assertive, vous réduisez les conflits, gagnez la confiance de vos collaborateurs et facilitez la coopération interservices.
  • Épanouissement personnel : Vous prenez conscience de vos valeurs, de vos aspirations et construisez une trajectoire professionnelle alignée avec votre authenticité.
  • Visibilité accrue : Un leader émotionnellement intelligent inspire, fédère et devient un moteur de changement pour l’organisation. Vous augmentez votre impact et votre reconnaissance interne.
  • Résilience face aux transitions : Que vous viviez une réorganisation, une réorientation de carrière ou la gestion d’une crise, votre capacité à accueillir et transformer vos émotions vous permet de rebondir plus rapidement.

Conclusion

L’intelligence émotionnelle n’est pas un concept abstrait, mais une compétence opérationnelle décisive pour piloter efficacement sa carrière. En intégrant l’approche P@CTE (Percevoir, Accepter, Communiquer, Transformer, Engager) et, si nécessaire, en vous appuyant sur un coach clermont ferrand, vous vous donnez les moyens de mieux vous connaître, d’accueillir vos émotions et de les convertir en leviers de performance durable.

À vous de jouer : commencez dès aujourd’hui à percevoir ce qui se passe en vous, accepter vos ressentis, communiquer avec assertivité, transformer vos émotions en actions positives et engager un plan d’évolution concret. Vous découvrirez rapidement que vos émotions, loin d’être des freins, sont le moteur qui vous propulsera vers de nouveaux sommets.

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